Batiks : Pas tout le monde sait que ...

Salut à tout le monde
La semaine dernière, nous avions commencé à parler des tissus batik, complice la golosissima promotion - en cours jusqu'à lundi 31 mars - sur tous ces tissus, au 25%!

Maintenant, voyons de plus près la technique manuelle, encore utilisée aujourd'hui, pour réaliser ces cotons et dont on ne connaît pas l'époque précise d'origine (même si les archéologues ont trouvé des morceaux de lin égyptien, probablement utilisés pour bander les momies, que semblent remonter au quatrième siècle). Nous savons toutefois, que telle technique est appelée “teinture à réserve”: c'est-à-dire, un méthode qui profite de la partielle imperméabilité de la surface à teindre, avec des matériaux comme la cire, pour obtenir motifs et nuances de couleurs spectaculaires, vu que la partie “réservée” - ou préservé dès la rédaction du matériel imperméable - maintient sa coloration originelle, tandis que celle exposée prends des nouvelles tonalités.
La cire est indubitablement l’imperméable plus utilisé, surtout dans l'archipel indonésien , où le tissu destiné à devenir un batik vient ciré sur les deuc côtés et, pour cette raison, il n'a pas un endroit et un envers: un grand confort, lorsqu'il s'agit d'utiliser ces merveilleuses fibres dans plusieurs travaux de couture créative et patchwork

Fleurs, feuilles, écailles, motifs géometriques et petits points, triangles, gouttes et polychromes sont les sujets plus répandus entre les batik de coton, choisi avec trame la plus régulière possible, de façon que les teintures pénètrent au mieux et les motifs résultent parfaits!
Après que les motifs ont été préparés , la cire fondue vient appliquée en utilisant un petit récipient métallique avec bec, ou bien avec des pinceaux, des baleines en bois, avec des timbres métalliques, mais aussi avec des petits blocs couverts avec des aiguilles prévues, selon le résultat final que l'on veut obtenir. Entre-temps, dans différents bassins, l'on prépare les teintures - que peuvent être différentes, dans le cas de la production des batik polychromes, que prévoit l’immersion du tissu dans le bassin de chaque teinture différente, après l’application répétitive de la cire, avant de chaque bain - et, après avoir attendu le complet séchage de la cire, les pièces y viennent trempées complètement, puis rincées et essuyées. Il ne reste qu'enlever la cire et ce procès est exécuté en profitant de la chaleur d'un fer chaud, passé sur tissus placés avec attention entre couches et couches de papier spécial, que absorbe totalement la cire fondue par le fer.
La valeur de ces cotons est donc multiple, considérer le grand niveau artisanal que implique leur production, leur caractéristique de ne pas avoir un envers, des effets chromatiques uniques et la tradition séculière qu'ils représentent
Les choisir pour n'importe quel projet de couture créative sera comme se plonger dans une “chromathérapie” toute pour nous
À la prochaîne !